Pourquoi faut-il encore en parler aujourd’hui ?
La meilleure chose serait qu’elle s’arrête. Cela signifierait la fin des droits bafoués, de l’oppression. Il ne s’agit pas de reconnaître des droits spécifiques mais de mettre fin aux discriminations et inégalités dont elles sont victimes.
Cela concerne le monde entier, alors parlons-en haut et fort !
Célébrons toutes ces femmes qui luttent et militent chaque jour pour un avenir durable et stable, pour l’égalité entre les sexes, pour l’égalité des chances.
Cette égalité ne concerne pas seulement celles et ceux qui se sentent écarté(e)s, cette liberté relève de la responsabilité de toutes et tous !
Appeler les femmes « le sexe faible » est une diffamation ; c’est l’injustice de l’homme envers la femme. Si la non-violence est la loi de l’humanité, l’avenir appartient aux femmes. GANDHI
Catherine Wehrlé
DS UNSA Clemessy Mulhouse
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